La lente usure des cœurs naïfs : une violence qu’on ne voit pas

Il y a des violences qui crient, qui explosent, qui marquent au visage. Et il y a celles qui ne font pas de bruit. Celles qui ne laissent aucune trace sur la peau, mais qui fissurent l’intérieur petit à petit. Lentement. Silencieusement. Jusqu’à ce qu’on ne se reconnaisse plus dans le miroir, jusqu’à ce que… Poursuivre la lecture La lente usure des cœurs naïfs : une violence qu’on ne voit pas