Tu croyais que j’étais faible… mais je t’observais en silence

T’as cru que je ne voyais rien. Que je gobais tes belles phrases, tes silences bien placés et tes manœuvres déguisées en attention. T’as cru que tu tenais les rênes, que tu pouvais jouer avec mes failles comme avec un pion sur un échiquier. Tu pensais pouvoir m’endormir avec ton masque bien lisse, tes jeux… Poursuivre la lecture Tu croyais que j’étais faible… mais je t’observais en silence