Il y a des silences qui calment une tempête, et d’autres qui te noient doucement, sans faire de vagues. Ce silence-là, c’est pas celui qui repose. C’est celui qui rappetisse, qui règne, qui ronge. Tu ne l’as pas choisi par confort. Tu ne t’es pas dit : « Je préfère me taire, c’est plus simple. » Non. Tu… Poursuivre la lecture À force de te taire, tu finis par t’oublier